Publié le 04/08/2009 Dans Press Releases
Le texte suivant est issu d'un communiqué de presse et ne reflète en rien l'opinion de la rédaction.
Bruxelles, le 4 aout 2009 – Hewlett-Packard a annoncé aujourd’hui que, selon une étude de marché indépendante demandée par HP, les entreprises belges prennent l’initiative en matière d’informatique verte. Sur l’ensemble des Belges interrogés, 76,5 pour cent estiment que l’économie et le recyclage du papier sont encore les manières les plus prisées pour travailler de manière plus respectueuse de l’environnement. Un bon début, certes, mais il convient pourtant encore de surmonter certains obstacles.
L’étude de marché a été effectuée par Vanson Bourne à la demande de HP et consiste en un sondage paneuropéen auprès de 2 000 utilisateurs des TI en Belgique, France, Pays-Bas, Allemagne, Autriche, Grande-Bretagne et Suisse. HP entendait ainsi mieux appréhender la manière dont les travailleurs utilisent aujourd’hui « l’informatique verte ». L’étude montre que pas moins de 61% des personnes interrogées en Belgique n’ont qu’une politique environnementale informelle au travail, si tant est qu’ils en aient une….
Pourtant, 74% de ces travailleurs indiquent avoir entrepris régulièrement des activités respectueuses de l’environnement dans le cadre de leur travail. Ce faisant, la Belgique est en tête de la liste avec la France, alors que les Pays-Bas sont la lanterne rouge avec 64%. Nous pouvons en déduire que les travailleurs belges veulent effectivement travailler de manière plus écologique et qu’ils attribuent à cette approche un caractère prioritaire.
Pas moins de 92% des personnes interrogées en Belgique économisent et recyclent le papier contre 82% en France et 83% aux Pays-Bas, nettement moins performants sur ce point. Selon les Belges, la réduction des déchets de papier est la manière la plus efficace de réduire l’impact de leurs activités d’impression sur l’environnement (38%). C’est un excellent état d’esprit quand ont sait que, selon une autre enquête, un Européen consomme en moyenne 20 kg de papier par mois. Chaque tonne de papier recyclé permet d’épargner 17 arbres et de réduire les émissions de CO2 de 900kg₁. Cette mentalité est extrêmement différente de celle des personnes interrogées en Allemagne et en France, qui estiment que l’achat d’imprimantes plus frugales en énergie constitue la manière la plus efficace pour obtenir des TI « plus vertes ».
Par ailleurs, l’étude met en évidence un certain nombre de défis. C’est ainsi que les personnes interrogées en Belgique avancent un certain nombre d’obstacles à franchir.
Les 3 principales pierres d’achoppement pour une stratégie TI plus verte dans les entreprises belges sont les suivantes:
1. Manque d’information sur l’offre d’applications et de produits « verts » (32%)
2. Absence d’un mécanisme bien délimité pour mesurer l’empreinte écologique (25%)
3. L’aspect des coûts de l’informatique verte est trop cher (19%)
Par ailleurs, seuls 53% des participants belges à l’étude mettent leur imprimante hors tension à la fin de la journée de travail, contre 61% en Allemagne. Enfin, à peine la moitié des personnes interrogées en Belgique impriment sur les deux faces alors qu’ils sont nettement plus nombreux en France (61%).
En réaction à ces résultats, Frank Lenderink, Environmental Manager de HP Benelux, a remarqué que HP a constaté un changement radical ces 50 années dans l’attitude du client par rapport à sa responsabilité environnementale. « Les entreprises continuent à prendre des mesures pour réduire leur impact environnemental même en temps de crise. Nous nous félicitons que cette dernière enquête confirme également que les clients s’emploient à trouver un équilibre entre leurs besoins d’impression et les préoccupations environnementales, et que nous pouvons les aider à atteindre cet équilibre. »
L’étude de marché a été effectuée par Vanson Bourne à la demande de HP et consiste en un sondage paneuropéen auprès de 2 000 utilisateurs des TI en Belgique, France, Pays-Bas, Allemagne, Autriche, Grande-Bretagne et Suisse. HP entendait ainsi mieux appréhender la manière dont les travailleurs utilisent aujourd’hui « l’informatique verte ». L’étude montre que pas moins de 61% des personnes interrogées en Belgique n’ont qu’une politique environnementale informelle au travail, si tant est qu’ils en aient une….
Pourtant, 74% de ces travailleurs indiquent avoir entrepris régulièrement des activités respectueuses de l’environnement dans le cadre de leur travail. Ce faisant, la Belgique est en tête de la liste avec la France, alors que les Pays-Bas sont la lanterne rouge avec 64%. Nous pouvons en déduire que les travailleurs belges veulent effectivement travailler de manière plus écologique et qu’ils attribuent à cette approche un caractère prioritaire.
Pas moins de 92% des personnes interrogées en Belgique économisent et recyclent le papier contre 82% en France et 83% aux Pays-Bas, nettement moins performants sur ce point. Selon les Belges, la réduction des déchets de papier est la manière la plus efficace de réduire l’impact de leurs activités d’impression sur l’environnement (38%). C’est un excellent état d’esprit quand ont sait que, selon une autre enquête, un Européen consomme en moyenne 20 kg de papier par mois. Chaque tonne de papier recyclé permet d’épargner 17 arbres et de réduire les émissions de CO2 de 900kg₁. Cette mentalité est extrêmement différente de celle des personnes interrogées en Allemagne et en France, qui estiment que l’achat d’imprimantes plus frugales en énergie constitue la manière la plus efficace pour obtenir des TI « plus vertes ».
Par ailleurs, l’étude met en évidence un certain nombre de défis. C’est ainsi que les personnes interrogées en Belgique avancent un certain nombre d’obstacles à franchir.
Les 3 principales pierres d’achoppement pour une stratégie TI plus verte dans les entreprises belges sont les suivantes:
1. Manque d’information sur l’offre d’applications et de produits « verts » (32%)
2. Absence d’un mécanisme bien délimité pour mesurer l’empreinte écologique (25%)
3. L’aspect des coûts de l’informatique verte est trop cher (19%)
Par ailleurs, seuls 53% des participants belges à l’étude mettent leur imprimante hors tension à la fin de la journée de travail, contre 61% en Allemagne. Enfin, à peine la moitié des personnes interrogées en Belgique impriment sur les deux faces alors qu’ils sont nettement plus nombreux en France (61%).
En réaction à ces résultats, Frank Lenderink, Environmental Manager de HP Benelux, a remarqué que HP a constaté un changement radical ces 50 années dans l’attitude du client par rapport à sa responsabilité environnementale. « Les entreprises continuent à prendre des mesures pour réduire leur impact environnemental même en temps de crise. Nous nous félicitons que cette dernière enquête confirme également que les clients s’emploient à trouver un équilibre entre leurs besoins d’impression et les préoccupations environnementales, et que nous pouvons les aider à atteindre cet équilibre. »