
26 des 51 patchs impliquent directement la base de donnée Oracle et 9 des failles corrigées permettent d'infiltrer le système sans même avoir de nom d'utilisateur et de mot de passe valide faisant de ces 9 là les plus "intéressants" pour les pirates.
Secunia affirme que, même si certaines des failles ne sont pas clairement délimitées par Oracle, certaines permettent d'obtenir un accès au système, de récupérer des données, de lancer des DoS, de réaliser des attaques de scripting cross-site ou de faire des injections SQL.
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