
L'agence du renseignement américain a déployé des agents sur les principaux réseaux sociaux (Facebooks, Twitter, mais aussi MySpace), où ces derniers se présentent sous plusieurs identités fictives pour participer à des discussions avec d'éventuels suspects. Selon l'Electronic Frontier Fondation (EFF), il est ainsi très facile de récolter des informations non publiques, et de cartographier le réseau de contacts d'un suspect et ainsi avoir l'accès à leur activités, centre d'intérêts, ou bien encore photos.