
Outre les campagnes de désinformation attribuées à la Russie - démenties par le Kremlin -, Facebook a aussi identifié «un réseau basé en Iran avec des liens avec le média d'État iranien essayant de diffuser de la propagande aux États-Unis, au Royaume-Uni et au Moyen-Orient», a rappelé le PDG du réseau social. Pour autant, a-t-il poursuivi, «nous faisons face à des adversaires sophistiqués et bien financés. Ils ne lâcheront pas et ils vont continuer à évoluer». Parallèlement, le groupe a aussi indiqué jeudi mettre à disposition de tous ses partenaires de vérification de faits dans le monde un outil technologique permettant de mieux repérer les images et vidéos truquées ou trompeuses.
