
Le géant informatique a réussi à remonter jusqu'à la source des attaques, un groupe qu'il appelle Holmium. Certaines d'entre elles ont été exécutées par une cellule appelée APT33. Microsoft n'est pas le seul à montrer du doigt les capacités iraniennes en matière de cyberattaques. Les spécialistes estiment que la république islamique fait tout pour être parmi les toutes premières puissances cyber, avec la Russie, la Chine, mais aussi les États-Unis. Microsoft a précisé que les attaques - si elles ont aussi touché des cibles européennes et américaines - ont surtout visé le Moyen-Orient, où l'Iran est très engagé dans les guerres du Yémen et de Syrie.
