
Twitter ne précise en revanche pas si les tweets publiés après le durcissement des règles seront eux accompagnés d'une suspension du compte à l'origine du message incriminé. Pour illustrer sa décision, le réseau social prend des exemples de propos qu'il estime déshumanisants à l'encontre d'une religion, tels que « dégoûtant » ou « animaux crasseux ». C'est dans ce contexte que le président américain, très critique envers Twitter et Facebook, qu'il accuse souvent de pencher à gauche, doit tenir jeudi un « sommet sur les réseaux sociaux » à la Maison-Blanche, sans les principaux intéressés, mais avec les conservateurs les plus critiques de la Silicon Valley.
