
C’est par le biais de réactions fallacieuses à des actualités (Digg.com) ou à des vidéos (YouTube) que les utilisateurs sont incités à cliquer sur un lien vers des vidéos pornographiques. En réalité, les utilisateurs ainsi abusés arrivent sur une page web où ils doivent télécharger un codec pour voir la vidéo. Par ce simple geste, ils téléchargent en fait un adware sur leur système, sans s’en rendre compte.


