Publié le 18/12/2015 Dans Press Releases
Le texte suivant est issu d'un communiqué de presse et ne reflète en rien l'opinion de la rédaction.
Diegem, le 18 décembre 2015
Il ressort d’une récente étude de Cisco que l’utilisation cachée du cloud computing au sein des entreprises est plus importante que prévue. En moyenne, la direction des systèmes d’information des grandes entreprises estiment en effet utiliser 51 services en nuage, mais, en réalité, ce nombre est un peu supérieur à 730. L’informatique fantôme ou Shadow IT est ainsi quelque quinze fois plus grande qu’attendue, soit deux fois plus qu’il y a un an. Les entreprises s’exposent ainsi inconsciemment à des cyberrisques. Cisco commercialise dès lors de nouveaux logiciels pour sécuriser l’informatique fantôme.
Il ressort d’un récent Cloud Index de Cisco que l’utilisation du cloud computing ne cesse d’augmenter : fin 2019, le cloud atteindra 8,6 zettaocets par an, soit quatre fois plus qu’aujourd’hui. « Les entreprises doivent sécuriser leurs données sur leur propre réseau d’entreprise, leurs ordinateurs et dans le cloud », indique Fred Noordam, Cyber Security Lead Benelux chez Cisco. « Forts d’une stratégie intégrée – security everywhere, nous avons veillé à ce qu’elles n’oublient pas des vulnérabilités comme les applications dans le cloud que les collaborateurs activent à leur insu sur leur ordinateur. »
Sans le vouloir, les collaborateurs donnent ainsi accès au réseau de l’entreprise à des pirates. Un nouveau produit de ce portefeuille de security everywhere protège les entreprises et les organisations d’applications en nuage dangereuses.
Cloud Access Security non seulement détecte des menaces, mais permet aussi aux entreprises de définir des règles de sécurité afin de limiter le trafic en nuage. Une entreprise peut ainsi permettre que des applications en nuage extérieures comme Dropbox et Box.com soient utilisées, mais empêcher que des informations décisives pour l’entreprise ne soient téléchargées.
Le nuage public jusqu’à huit fois plus cher
De cette manière, les entreprises abordent également les frais cachés de l’informatique fantôme. En raison du surcroît de travail découlant de l’intégration et de la sécurisation du logiciel dans le cloud, un service en nuage, bon marché de prime abord, se révèle 4 à 8 fois plus chers que l’utilisation des propres ressources de l’entreprise. Dès lors que les collaborateurs ne peuvent pas installer de logiciel, ils doivent contacter le staff informatique.
Par ailleurs, il existe également un nouveau service de sensibilisation à la menace baptisé Threat Awareness Service. Il se base sur la quantité considérable d’informations relatives aux menaces réseaux que Cisco collecte via la télémétrie chez tous ses clients. De cette manière les trafics entrant et sortant sont filtrés chez tous les collaborateurs. D’éventuelles irrégularités qui exigent davantage d’attention sont automatiquement mises en évidence.
Il ressort d’une récente étude de Cisco que l’utilisation cachée du cloud computing au sein des entreprises est plus importante que prévue. En moyenne, la direction des systèmes d’information des grandes entreprises estiment en effet utiliser 51 services en nuage, mais, en réalité, ce nombre est un peu supérieur à 730. L’informatique fantôme ou Shadow IT est ainsi quelque quinze fois plus grande qu’attendue, soit deux fois plus qu’il y a un an. Les entreprises s’exposent ainsi inconsciemment à des cyberrisques. Cisco commercialise dès lors de nouveaux logiciels pour sécuriser l’informatique fantôme.
Il ressort d’un récent Cloud Index de Cisco que l’utilisation du cloud computing ne cesse d’augmenter : fin 2019, le cloud atteindra 8,6 zettaocets par an, soit quatre fois plus qu’aujourd’hui. « Les entreprises doivent sécuriser leurs données sur leur propre réseau d’entreprise, leurs ordinateurs et dans le cloud », indique Fred Noordam, Cyber Security Lead Benelux chez Cisco. « Forts d’une stratégie intégrée – security everywhere, nous avons veillé à ce qu’elles n’oublient pas des vulnérabilités comme les applications dans le cloud que les collaborateurs activent à leur insu sur leur ordinateur. »
Sans le vouloir, les collaborateurs donnent ainsi accès au réseau de l’entreprise à des pirates. Un nouveau produit de ce portefeuille de security everywhere protège les entreprises et les organisations d’applications en nuage dangereuses.
Cloud Access Security non seulement détecte des menaces, mais permet aussi aux entreprises de définir des règles de sécurité afin de limiter le trafic en nuage. Une entreprise peut ainsi permettre que des applications en nuage extérieures comme Dropbox et Box.com soient utilisées, mais empêcher que des informations décisives pour l’entreprise ne soient téléchargées.
Le nuage public jusqu’à huit fois plus cher
De cette manière, les entreprises abordent également les frais cachés de l’informatique fantôme. En raison du surcroît de travail découlant de l’intégration et de la sécurisation du logiciel dans le cloud, un service en nuage, bon marché de prime abord, se révèle 4 à 8 fois plus chers que l’utilisation des propres ressources de l’entreprise. Dès lors que les collaborateurs ne peuvent pas installer de logiciel, ils doivent contacter le staff informatique.
Par ailleurs, il existe également un nouveau service de sensibilisation à la menace baptisé Threat Awareness Service. Il se base sur la quantité considérable d’informations relatives aux menaces réseaux que Cisco collecte via la télémétrie chez tous ses clients. De cette manière les trafics entrant et sortant sont filtrés chez tous les collaborateurs. D’éventuelles irrégularités qui exigent davantage d’attention sont automatiquement mises en évidence.
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