Publié le 19/12/2016 Dans Press Releases
Le texte suivant est issu d'un communiqué de presse et ne reflète en rien l'opinion de la rédaction.
Bruxelles, le 19 décembre 2016 – Balabit, spécialiste des technologies de sécurité contextuelle, présente les résultats de son étude CSI sur les incidents de sécurité, qui a été menée auprès de plus de cent professionnels de la sécurité et de l’informatique. D’après l’étude, 75 % des organisations se donnent un certain délai pour analyser les incidents de sécurité potentiels. Toutefois, 44 % des sondés ont déjà dépassé cette échéance interne ou externe au cours de l’année écoulée, que ce soit pour analyser ou pour signaler une fuite de données. 7 % ont en outre déclaré que ce dépassement d’échéance avait eu de lourdes conséquences.
Péter Gyöngyösi, Product Manager de Blindspotter chez Balabit : « L’étude de Balabit montre que les échéances pour analyser des fuites de données ne sont généralement pas respectées car les organisations ne comprennent toujours pas bien leurs propres données. Les outils dont elles disposent ne leur permettent pas de filtrer les informations utiles parmi les données non structurées. Elles n’ont par ailleurs pas suffisamment d’informations contextuelles pour pouvoir convertir ces données en informations pertinentes et exploitables. »
Les notifications évoluent suite à l’introduction d’une nouvelle législation sur la protection des données
Les résultats de l’étude de Balabit révèlent aussi que 30 % des organisations ne doivent actuellement pas signaler les incidents de sécurité à des autorités extérieures. Mais alors que 70 % des organisations sont obligées de signaler une fuite, à peine un quart se donnent un certain délai pour le faire.
Les résultats de cette étude sont annoncés au moment où de nombreuses organisations subissent une pression croissante dans l’attente de règles de conformité revues ou intégralement nouvelles. Ces règles imposent la notification d’une fuite de données dans les 72 heures. Le Règlement général sur la protection des données, qui prendra effet dans l’UE en mai 2018, et le Bouclier « vie privée » UE-États-Unis, peuvent imposer des amendes équivalentes à 2 % du chiffre d’affaires mondial d’une organisation.
Les principaux points noirs de l’étude
Balabit a interrogé les sondés sur les points noirs qu’ils rencontrent lorsqu’ils analysent les incidents de sécurité. Voici leurs réponses classées par ordre d’importance décroissant.
1. « Convertir les données en informations compréhensibles. »
2. « Comparer des utilisateurs à leurs collègues. »
3. « Avoir une console affichant toutes les sources de données. »
4. « Voir les différences entre les vraies activités des utilisateurs et les activités normales. »
5. « Accéder rapidement aux données. »
6. « Avoir la possibilité d’effectuer des recherches ad hoc et de se concentrer sur des événements spécifiques. »
7. « Bénéficier d’un accès aisé à toutes les informations pertinentes. »
Péter Gyöngyösi, Product Manager de Blindspotter chez Balabit : « L’étude de Balabit montre que les échéances pour analyser des fuites de données ne sont généralement pas respectées car les organisations ne comprennent toujours pas bien leurs propres données. Les outils dont elles disposent ne leur permettent pas de filtrer les informations utiles parmi les données non structurées. Elles n’ont par ailleurs pas suffisamment d’informations contextuelles pour pouvoir convertir ces données en informations pertinentes et exploitables. »
Les notifications évoluent suite à l’introduction d’une nouvelle législation sur la protection des données
Les résultats de l’étude de Balabit révèlent aussi que 30 % des organisations ne doivent actuellement pas signaler les incidents de sécurité à des autorités extérieures. Mais alors que 70 % des organisations sont obligées de signaler une fuite, à peine un quart se donnent un certain délai pour le faire.
Les résultats de cette étude sont annoncés au moment où de nombreuses organisations subissent une pression croissante dans l’attente de règles de conformité revues ou intégralement nouvelles. Ces règles imposent la notification d’une fuite de données dans les 72 heures. Le Règlement général sur la protection des données, qui prendra effet dans l’UE en mai 2018, et le Bouclier « vie privée » UE-États-Unis, peuvent imposer des amendes équivalentes à 2 % du chiffre d’affaires mondial d’une organisation.
Les principaux points noirs de l’étude
Balabit a interrogé les sondés sur les points noirs qu’ils rencontrent lorsqu’ils analysent les incidents de sécurité. Voici leurs réponses classées par ordre d’importance décroissant.
1. « Convertir les données en informations compréhensibles. »
2. « Comparer des utilisateurs à leurs collègues. »
3. « Avoir une console affichant toutes les sources de données. »
4. « Voir les différences entre les vraies activités des utilisateurs et les activités normales. »
5. « Accéder rapidement aux données. »
6. « Avoir la possibilité d’effectuer des recherches ad hoc et de se concentrer sur des événements spécifiques. »
7. « Bénéficier d’un accès aisé à toutes les informations pertinentes. »
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