Publié le 28/02/2017 Dans Press Releases
Le texte suivant est issu d'un communiqué de presse et ne reflète en rien l'opinion de la rédaction.
Grimbergen, le 28 février 2017 – Plus de 80 pour cent des personnes interrogées pensent que les solutions de technologie de collaboration sont très importantes, voire essentielles pour atteindre les plus hauts objectifs commerciaux de leurs organisations. Selon le rapport commandité par Insight et établi par Harvard Business Review Analytic Services, qui porte sur 421 professionnels interrogés, « ce sont même 90 pour cent qui déclarent s'attendre à ce que la technologie de collaboration devienne très ou extrêmement importante pour leurs organisations dans les deux ans à venir ».
L'impact positif de la technologie de collaboration, telles que la messagerie instantanée, les applications pour le bureau, la visioconférence, les smartphones et les courriels, peut améliorer significativement l'efficacité opérationnelle et la compétitivité d'une organisation. En effet, l'étude a révélé que 79 pour cent ont indiqué que l'augmentation de l'efficacité est un résultat commercial hautement appréciable des outils de collaboration, suivi par :
• Une hausse de productivité (76 pour cent)
• De meilleures décisions commerciales (69 pour cent)
• Un plus haut degré d'innovation (63 pour cent)
• Une mise sur le marché plus rapide (58 pour cent)
• Une réduction des frais de transport (57 pour cent)
• Une augmentation des ventes (52 pour cent)
Défis à relever
En dépit du fait qu'elles en ont compris les avantages, les organisations ont éprouvé des difficultés face à certains aspects des outils de collaboration, comme l'impossibilité d'inclure des entrepreneurs, consultants et autres personnes non employées (46 pour cent), une configuration compliquée (40 pour cent) et une utilisation difficile (31 pour cent).
« Pour atténuer ces problèmes, les sociétés innovant dans l'espace ne cessent de faire évoluer ces outils et technologies. Nous assistons à la multiplication de technologies à la fois nouvelles et de la prochaine génération, conçues dans un esprit de simplicité et destinées à des utilisateurs finaux ne disposant pas de connaissances techniques. Cela contribuera à garantir leur utilisation par vos employés et le retour sur investissement promis », a expliqué Marie del Marmol, Country Manager Insight BeLux.
Approche de gestion descendante
Afin de créer un environnement de travail collaboratif et compétitif, les cadres dirigeants doivent donner le ton. Les résultats de l'étude ont montré que ces attentes ne sont pas tout à fait satisfaites. Alors que soixante-six pour cent s'accordent à dire que les cadres supérieurs doivent orienter leur culture collaborative, seulement 50 pour cent pensent que leurs cadres modèlent ce comportement.
« Comme pour tout changement organisationnel, l'engagement et l'encadrement par l'équipe dirigeante sont primordiaux. Ils ne doivent pas seulement s'engager en termes d'investissement mais également d'utilisation des outils eux-mêmes. Par exemple, si votre organisation compte des employés à l'échelle mondiale et si interagir en face en face est important dans la culture du milieu de travail, la visioconférence devrait alors être la règle. Cela peut aussi réduire le besoin de voyager et les frais qui en découlent, soulignant comment adopter ces outils peut clairement offrir un retour sur investissement en termes de culture et de coûts », ajoute Marie del Marmol.
Méthodologie
Il s'agissait d'une étude réalisée par courriel. Au total ont répondu 421 personnes parmi les lecteurs de Harvard Business Review (clients et utilisateurs magazine et lettres d'information électroniques de HBR.org). Dix-huit pour cent des personnes interrogées étaient issues de la direction générale et opérationnelle, 10 pour cent des ventes et du développement commercial, 8 pour cent de l'ingénierie IT/logicielle, 7 pour cent de la consultance, 7 pour cent des RH/formation et 7 pour cent des R&D/innovation/développement de produit. D'autres fonctions représentaient 6 pour cent ou moins de la base des personnes interrogées.
L'impact positif de la technologie de collaboration, telles que la messagerie instantanée, les applications pour le bureau, la visioconférence, les smartphones et les courriels, peut améliorer significativement l'efficacité opérationnelle et la compétitivité d'une organisation. En effet, l'étude a révélé que 79 pour cent ont indiqué que l'augmentation de l'efficacité est un résultat commercial hautement appréciable des outils de collaboration, suivi par :
• Une hausse de productivité (76 pour cent)
• De meilleures décisions commerciales (69 pour cent)
• Un plus haut degré d'innovation (63 pour cent)
• Une mise sur le marché plus rapide (58 pour cent)
• Une réduction des frais de transport (57 pour cent)
• Une augmentation des ventes (52 pour cent)
Défis à relever
En dépit du fait qu'elles en ont compris les avantages, les organisations ont éprouvé des difficultés face à certains aspects des outils de collaboration, comme l'impossibilité d'inclure des entrepreneurs, consultants et autres personnes non employées (46 pour cent), une configuration compliquée (40 pour cent) et une utilisation difficile (31 pour cent).
« Pour atténuer ces problèmes, les sociétés innovant dans l'espace ne cessent de faire évoluer ces outils et technologies. Nous assistons à la multiplication de technologies à la fois nouvelles et de la prochaine génération, conçues dans un esprit de simplicité et destinées à des utilisateurs finaux ne disposant pas de connaissances techniques. Cela contribuera à garantir leur utilisation par vos employés et le retour sur investissement promis », a expliqué Marie del Marmol, Country Manager Insight BeLux.
Approche de gestion descendante
Afin de créer un environnement de travail collaboratif et compétitif, les cadres dirigeants doivent donner le ton. Les résultats de l'étude ont montré que ces attentes ne sont pas tout à fait satisfaites. Alors que soixante-six pour cent s'accordent à dire que les cadres supérieurs doivent orienter leur culture collaborative, seulement 50 pour cent pensent que leurs cadres modèlent ce comportement.
« Comme pour tout changement organisationnel, l'engagement et l'encadrement par l'équipe dirigeante sont primordiaux. Ils ne doivent pas seulement s'engager en termes d'investissement mais également d'utilisation des outils eux-mêmes. Par exemple, si votre organisation compte des employés à l'échelle mondiale et si interagir en face en face est important dans la culture du milieu de travail, la visioconférence devrait alors être la règle. Cela peut aussi réduire le besoin de voyager et les frais qui en découlent, soulignant comment adopter ces outils peut clairement offrir un retour sur investissement en termes de culture et de coûts », ajoute Marie del Marmol.
Méthodologie
Il s'agissait d'une étude réalisée par courriel. Au total ont répondu 421 personnes parmi les lecteurs de Harvard Business Review (clients et utilisateurs magazine et lettres d'information électroniques de HBR.org). Dix-huit pour cent des personnes interrogées étaient issues de la direction générale et opérationnelle, 10 pour cent des ventes et du développement commercial, 8 pour cent de l'ingénierie IT/logicielle, 7 pour cent de la consultance, 7 pour cent des RH/formation et 7 pour cent des R&D/innovation/développement de produit. D'autres fonctions représentaient 6 pour cent ou moins de la base des personnes interrogées.
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