Publié le 06/02/2018 Dans Press Releases
Le texte suivant est issu d'un communiqué de presse et ne reflète en rien l'opinion de la rédaction.
Utrecht, 6 février 2018 – Effectuer des opérations bancaires, faire des achats, consulter la météo, commander à manger ou un taxi : on utilise tellement nos comptes en ligne qu’on n’y prête plus vraiment attention. Jusqu’au moment tant redouté où apparaît un message du type « Connexion échouée » ou « Nom d’utilisateur ou mot de passe incorrect », parce qu’on ne se rappelle plus le mot de passe. Que faire alors ? Impossible de rentrer à la maison ? On sort sans manteau alors qu’il pleut ? On se laisse mourir de faim ? Tout cela parce qu’on a choisi un mot de passe trop compliqué ? Kaspersky Lab tranche le fameux dilemme du mot de passe.
Kaspersky Lab a pu observer que plus nous dépendons de comptes en ligne, plus nous avons de mal à imaginer un mot de passe. Certains optent pour un mot de passe fort et différent pour chaque compte afin de se prémunir contre le piratage, le vol ou toute autre forme d’abus. Cette méthode présente toutefois le risque que l’on oublie son mot de passe. D’autres choisissent en revanche des mots de passe simples, faciles à retenir, mais qui facilitent aussi la tâche des cybercriminels.
Première option : des mots de passe forts que personne n’arrive à retenir
D’après une enquête menée par l’entreprise de cybersécurité, la plupart des gens reconnaissent la nécessité de choisir un bon mot de passe, c’est-à-dire un mot de passe complexe. Interrogés sur les types de comptes en ligne qui réclament selon eux les mots de passe les plus forts, les répondants belges dégagent un trio de tête constitué tout d’abord des comptes bancaires (74 %), suivi des comptes de plates-formes d’achat en ligne (36 %) et enfin des comptes de messagerie électronique (34 %).
Or, ces mots de passe forts sont non seulement difficiles à inventer, mais aussi difficiles à retenir. Il en résulte que si les cybercriminels ont toutes les peines du monde à accéder à ces comptes, cela devient à un moment donné aussi le cas de l’utilisateur, tout simplement parce qu’il a oublié l’indispensable sésame. Parmi les participants belges de cette enquête, 34 % déclarent ne pas être en mesure de résoudre rapidement le problème lorsqu’ils se retrouvent en pareille situation. Le monde s’arrête alors de tourner et la frustration et le stress prennent le dessus.
Cela explique pourquoi deux Belges sur cinq (38 %) conservent leurs mots de passe dans un endroit non sécurisé, par exemple en les notant dans un calepin (17 %). Si elle a le mérite de faciliter la vie, cette pratique est aussi relativement risquée.
Deuxième option : des mots de passe faibles que tout le monde peut pirater
Bien entendu, il existe une option qui permet d’exclure dès le départ les contrariétés et les prises de tête qui accompagnent le choix d’une combinaison de chiffres, de lettres et de signes spéciaux. Il suffit de choisir un mot de passe non sûr ou faible. Douze pour cent des répondants belges avouent utiliser un mot de passe unique et facile à retenir pour tous leurs comptes. Ils ont ainsi directement accès à tout, sans grand effort mental et sans risquer de taper trois fois un code erroné. Pourquoi donc se compliquer la vie ? Pas de tracas... jusqu’à ce qu’un petit roublard – après tout, les cybercriminels sont aussi des humains – intercepte leur mot de passe, évidemment.
Parmi les consommateurs belges interrogés par Kaspersky Lab, 9 % indiquent avoir été confrontés à un piratage ou une tentative de piratage de compte au cours des douze derniers mois. Les principales cibles sont les comptes de messagerie électronique (38 %). Viennent ensuite les comptes de réseaux sociaux (20 %) puis les comptes de plates-formes de jeux en ligne (14 %).
Troisième option : la solution
Martijn van Lom, General Manager de Kaspersky Lab Benelux : « Des mots de passe forts et qui ne s’oublient pas facilement permettent aux utilisateurs non seulement d’avoir accès à tout ce dont ils ont besoin au moment où ils en ont besoin, mais aussi de protéger les informations contenues dans leurs comptes contre le piratage informatiques. C’est essentiel pour toute personne qui souhaite préserver la sécurité de sa vie numérique tout en s’assurant de pouvoir sereinement continuer à rechercher des coordonnées, jouer à des jeux, consulter ses e-mails, faire des achats, etc., sans pour autant faciliter la tâche des pirates informatiques et autres cybercriminels. »
« Seulement, ce n’est pas évident de retenir des mots de passe sûrs », affirme van Lom. « Nous sommes donc en permanence confrontés à ce dilemme du mot de passe : il faut choisir entre utiliser des mots de passe compliqués qu’on oublie tout le temps ou des mots de passe simples, mais qui sont aussi faciles à pirater. Il existe pourtant une réponse à ce problème. C’est cela, la troisième option : une solution pour la gestion des mots de passe. Grâce à cette solution, les mots de passe peuvent être suffisamment complexes tout en évitant d’utiliser un calepin pour s’en souvenir. »
Ce type de solution permet aux utilisateurs de reprendre le contrôle complet de leurs multiples identités numériques. Kaspersky Password Manager en est un bel exemple. Tous les mots de passe sont enregistrés dans un coffre-fort sécurisé. Il suffit ensuite de retenir un seul mot de passe, celui du coffre-fort, pour avoir accès à tous les comptes. Terminées, les crises d’angoisse quand on oublie son mot de passe : avec leur compte gratuit My Kaspersky, les utilisateurs disposent de tous leurs codes d’accès et ont par conséquent accès à tous leurs comptes en ligne et à toutes leurs informations sensibles, et ce, quel que soit l’heure, l’endroit ou le terminal utilisé. Le générateur automatique de mots de passe apporte une aide supplémentaire quand il s’agit de trouver un mot de passe fort. Avec cette solution, fini les casse-têtes ! Sauf pour les hackers, évidemment.
Kaspersky Lab a pu observer que plus nous dépendons de comptes en ligne, plus nous avons de mal à imaginer un mot de passe. Certains optent pour un mot de passe fort et différent pour chaque compte afin de se prémunir contre le piratage, le vol ou toute autre forme d’abus. Cette méthode présente toutefois le risque que l’on oublie son mot de passe. D’autres choisissent en revanche des mots de passe simples, faciles à retenir, mais qui facilitent aussi la tâche des cybercriminels.
Première option : des mots de passe forts que personne n’arrive à retenir
D’après une enquête menée par l’entreprise de cybersécurité, la plupart des gens reconnaissent la nécessité de choisir un bon mot de passe, c’est-à-dire un mot de passe complexe. Interrogés sur les types de comptes en ligne qui réclament selon eux les mots de passe les plus forts, les répondants belges dégagent un trio de tête constitué tout d’abord des comptes bancaires (74 %), suivi des comptes de plates-formes d’achat en ligne (36 %) et enfin des comptes de messagerie électronique (34 %).
Or, ces mots de passe forts sont non seulement difficiles à inventer, mais aussi difficiles à retenir. Il en résulte que si les cybercriminels ont toutes les peines du monde à accéder à ces comptes, cela devient à un moment donné aussi le cas de l’utilisateur, tout simplement parce qu’il a oublié l’indispensable sésame. Parmi les participants belges de cette enquête, 34 % déclarent ne pas être en mesure de résoudre rapidement le problème lorsqu’ils se retrouvent en pareille situation. Le monde s’arrête alors de tourner et la frustration et le stress prennent le dessus.
Cela explique pourquoi deux Belges sur cinq (38 %) conservent leurs mots de passe dans un endroit non sécurisé, par exemple en les notant dans un calepin (17 %). Si elle a le mérite de faciliter la vie, cette pratique est aussi relativement risquée.
Deuxième option : des mots de passe faibles que tout le monde peut pirater
Bien entendu, il existe une option qui permet d’exclure dès le départ les contrariétés et les prises de tête qui accompagnent le choix d’une combinaison de chiffres, de lettres et de signes spéciaux. Il suffit de choisir un mot de passe non sûr ou faible. Douze pour cent des répondants belges avouent utiliser un mot de passe unique et facile à retenir pour tous leurs comptes. Ils ont ainsi directement accès à tout, sans grand effort mental et sans risquer de taper trois fois un code erroné. Pourquoi donc se compliquer la vie ? Pas de tracas... jusqu’à ce qu’un petit roublard – après tout, les cybercriminels sont aussi des humains – intercepte leur mot de passe, évidemment.
Parmi les consommateurs belges interrogés par Kaspersky Lab, 9 % indiquent avoir été confrontés à un piratage ou une tentative de piratage de compte au cours des douze derniers mois. Les principales cibles sont les comptes de messagerie électronique (38 %). Viennent ensuite les comptes de réseaux sociaux (20 %) puis les comptes de plates-formes de jeux en ligne (14 %).
Troisième option : la solution
Martijn van Lom, General Manager de Kaspersky Lab Benelux : « Des mots de passe forts et qui ne s’oublient pas facilement permettent aux utilisateurs non seulement d’avoir accès à tout ce dont ils ont besoin au moment où ils en ont besoin, mais aussi de protéger les informations contenues dans leurs comptes contre le piratage informatiques. C’est essentiel pour toute personne qui souhaite préserver la sécurité de sa vie numérique tout en s’assurant de pouvoir sereinement continuer à rechercher des coordonnées, jouer à des jeux, consulter ses e-mails, faire des achats, etc., sans pour autant faciliter la tâche des pirates informatiques et autres cybercriminels. »
« Seulement, ce n’est pas évident de retenir des mots de passe sûrs », affirme van Lom. « Nous sommes donc en permanence confrontés à ce dilemme du mot de passe : il faut choisir entre utiliser des mots de passe compliqués qu’on oublie tout le temps ou des mots de passe simples, mais qui sont aussi faciles à pirater. Il existe pourtant une réponse à ce problème. C’est cela, la troisième option : une solution pour la gestion des mots de passe. Grâce à cette solution, les mots de passe peuvent être suffisamment complexes tout en évitant d’utiliser un calepin pour s’en souvenir. »
Ce type de solution permet aux utilisateurs de reprendre le contrôle complet de leurs multiples identités numériques. Kaspersky Password Manager en est un bel exemple. Tous les mots de passe sont enregistrés dans un coffre-fort sécurisé. Il suffit ensuite de retenir un seul mot de passe, celui du coffre-fort, pour avoir accès à tous les comptes. Terminées, les crises d’angoisse quand on oublie son mot de passe : avec leur compte gratuit My Kaspersky, les utilisateurs disposent de tous leurs codes d’accès et ont par conséquent accès à tous leurs comptes en ligne et à toutes leurs informations sensibles, et ce, quel que soit l’heure, l’endroit ou le terminal utilisé. Le générateur automatique de mots de passe apporte une aide supplémentaire quand il s’agit de trouver un mot de passe fort. Avec cette solution, fini les casse-têtes ! Sauf pour les hackers, évidemment.
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