Le Belge voit le porte-à-porte d’un mauvais œil
Publié le 18/02/2010 Dans Press Releases
Le texte suivant est issu d'un communiqué de presse et ne reflète en rien l'opinion de la rédaction.
Zaventem, le 18 février 2010 – Il ressort d’une enquête de Scarlet[1] que les Belges ne sont pas partisans du porte-à-porte. En effet, pas moins de 95% des Belges admettent porter un regard négatif sur le démarchage. Et pourtant, 30% des Belges ont déjà fait des achats par cette voie. En tête des objets les mieux vendus : les articles pour les bonnes causes (68%) et les cartes de soutien en faveur d’associations (61%), suivis par des biens durables traditionnels comme les encyclopédies, les marmites et les casseroles (20%), etc. Un Belge sur 10 a déjà souscrit un abonnement télécom via le porte-à-porte. La perception négative du démarchage ne signifie toutefois pas que le Belge ferme la porte au nez des vendeurs : 32% affirment être intéressés si ce canal propose des services ou des produits meilleur marché.

L’enquête révèle également que :
· Le Belge n’est pas toujours satisfait après un achat via le porte-à-porte. Exception faite des achats pour les bonnes causes (72%) et des cartes de soutien (83%). Fait remarquable : le nombre de mécontents est plus élevé après l’achat de biens durables (57%) qu’après l’achat de contrats de télécommunications ou d’énergie (respectivement 50% et 46%).
· Les colporteurs sont un peu mieux perçus en Wallonie et à Bruxelles qu’en Flandre. Seuls 4% des Flamands portent un regard positif sur le démarchage, tandis qu’à Bruxelles et en Wallonie, 7% y sont favorables.
· Les Flamands sont les acheteurs les plus actifs (33%), suivis par les Wallons (27%) et les Bruxellois avec seulement 14%.

Pourquoi portons-nous un regard critique sur le porte-à-porte ?
À cette question, 4 Belges sur 10 répondent qu’ils préfèrent décider eux-mêmes quand ils veulent obtenir des informations sur un produit ou un service donné. Vingt-neuf pour cent indiquent ne pas faire confiance aux démarcheurs, tandis que 25% avancent le manque de fiabilité des produits ou services offerts. Certains trouvent même qu’il est impoli de frapper à une porte à des fins commerciales.

Pourquoi descendre malgré tout dans la rue ?
Scarlet entend avant tout faire jouer la concurrence sur un marché difficile. Cela n’est possible qu’en proposant des produits très bon marché. Le maintien des prix en dessous de la moyenne du marché implique certains sacrifices : Scarlet a dès lors choisi de ne pas lancer de campagnes publicitaires onéreuses. L’argent ainsi économisé permet de maintenir des prix avantageux.

« Mais ne pas faire parler de soi, c’est se vouer à l’oubli ! C’est la raison pour laquelle il est nécessaire de rechercher d’autres canaux nous permettant d’informer les consommateurs sur nos produits », explique Marnix Kuypers, Sales & Marketing Director chez Scarlet. « Notre offre est très avantageuse, mais peu de gens semblent savoir qu’il existe des solutions moins chères que celles proposées par les grands acteurs du marché. C’est la raison pour laquelle nous désirons nouer un dialogue avec l’homme de la rue. »

About Scarlet

Scarlet is a supplier of telecom services which provides Digital TV, fixed and mobile telephony, Internet to residential customers in the Netherlands & Belgium. Scarlet was founded in 1992 and was acquired by the Belgacom Group on November 28, 2008.

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