
La première faille résidait dans l'implémentation de Java de QuickTime qui permettait d'exécuter du code arbirtraire moyennant une petite manipulation d'objets sur le stack. Cette première faille est à mettre au crédit de deux employés IBM ainsi que de la firme de sécurité Secunia.
La deuxième faille est encore due à l'implémentation de Java dans QuickTime qui permet ici d'aller lire le contenu de la mémoire du navigateur et accéder à des informations sensibles éventuellement.
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