
Sans surprise, Bamital récupérait chez ses victimes des informations personnelles, ou encore entraînait des clics frauduleux sur des publicités en ligne. Depuis le dépôt d'une plainte le 31 janvier, une équipe d'intervention américaine a coupé les serveurs de contrôle et les ordinateurs infectés ne pouvaient donc plus communiquer avec le central. Des outils de nettoyage ont cependant été mis à disposition des victimes.
