
S'exprimant devant le tribunal, M. Barratier s'est fait "le porte-parole" de la profession cinématographique qui emploie "300.000 personnes en France" et a souhaité que ce procès serve de "symbole".
"Je ne suis pas pour la répression des internautes mais pour une pédagogie : montrer qu'un bien culturel n'est pas gratuit", a expliqué le réalisateur
Le tribunal correctionnel doit rendre sa décision dans plusieurs semaines.
