
La Commission craint que ces clauses, parfois appelées clauses de la "nation la plus favorisée" (NPF) ne nuisent à la concurrence en freinant le développement de produits et services concurrents de ceux d'Amazon. Les rivaux et les clients du groupe américain ont désormais un mois pour faire part de leurs observations à Bruxelles, qui décidera ensuite d'accepter ou non les propositions.
