
Concrètement, cette décision autoriserait les FAI à moduler la vitesse de débit internet à leur guise, en fonction du contenu qui passe dans leurs «tuyaux». Pour les internautes, cela voudrait dire par exemple qu'ils bénéficieraient d'un accès rapide à certains sites, mais pâtiraient d'un accès plus lent à d'autres, selon les relations entretenues entre leur fournisseur d'accès et les fournisseurs de contenus (moteurs de recherche, émissions, films, musique, séries...).
