
Selon le magazine en ligne The Intercept vendredi, citant des sources internes, le groupe a fermé les accès de la plupart des employés aux documents relatifs au projet «Dragonfly» après les fuites dans la presse. Ce n'est pas la première fois que Google fait face à cette situation, des milliers d'employés avaient signé une pétition il y a quelques mois pour lui demander de «rester en dehors du business de la guerre» à propos d'un contrat avec le Pentagone. En outre, selon l'agence Bloomberg vendredi, Google est en discussions avec le groupe Tencent et d'autres groupes chinois pour pouvoir proposer ses services de cloud dans ce pays, en les faisant tourner sur des data centers et serveurs d'entreprises chinoises, pour se conformer aux exigences de la Chine, qui veut que les données soient stockées sur son sol.
