
« Les administrateurs de ces pages et les détenteurs de ces comptes se présentaient généralement comme des citoyens américains, et dans quelques cas britanniques, et publiaient des contenus sur des sujets très politiques comme les relations interethniques, l'opposition au président (Donald Trump), et l'immigration », écrit dans un communiqué Nathaniel Gleicher, chargé de la sécurité informatique chez Facebook, qui avait déjà détecté des activités suspectes venues d'Iran et supprimé des comptes au mois d'août. Toutefois, « nous n'avons pas trouvé de liens avec le gouvernement iranien, nous ne pouvons affirmer de façon certaine qui est responsable » de cette activité, a-t-il encore indiqué.
