
Definers a bien « encouragé des journalistes » à se pencher sur le financement d'une campagne anti-Facebook, mais « suggérer que (cette action de la société de relations publiques) relevait d'une attaque antisémite est répréhensible et faux », ajoute le groupe dirigé par Mark Zuckerberg, lui-même de confession juive. Selon une longue enquête du NYT, le groupe aurait demandé à Definers de mener une campagne pour discréditer les critiques du groupe, en suggérant des liens entre ces critiques et George Soros. Le NYT reproche par ailleurs à Mark Zuckerberg et à la numéro deux de Facebook Sheryl Sandberg d'avoir « ignoré les signes avant-coureurs » de tentatives d'ingérence russe dans les élections américaines en 2016.
