
Londres reconnaît les bienfaits de ces plateformes, mais pointe « la concentration de pouvoir entre un petit nombre d’entreprises numériques », ce qui ralentit la croissance du secteur, réduit l’innovation et peut avoir des effets négatifs sur la société.
Le nouveau code pourra contraindre les plateformes à être plus transparentes dans les services fournis et dans la manière dont elles utilisent les données personnelles. Les consommateurs pourront avoir le choix de recevoir ou non des publicités personnalisées en ligne. L’unité des marchés numériques sera lancée en avril et pourra forcer les géants du numérique à changer leur pratique s’il le faut, et aura la possibilité d’infliger des amendes en cas de non-respect des règles. Enfin, ce code sera un moyen pour garantir des contrats commerciaux plus équitables entre les géants du numérique et la presse. Le gouvernement veut empêcher que les plateformes utilisent leur position dominante pour imposer des termes financiers peu avantageux pour les titres de presse, notamment les nouveaux venus, ce qui limite leur capacité à monétiser leurs revenus.
