
L'enquête de 4 mois trouve son origine dans la plainte d'une association écologique de pêche. Les jeunes ont en effet pénétré de nombreux sites pour soit détruire ceux-ci, en dérober les données, les modifier ou créer des copies de ceux-ci pour des attaques de phishing. Les jeunes risquent une amende allant jusqu'à 30.000€ et une peine de maximum 2 ans de prison.



didix:
22 jeunes pirates sous les verrous en France
Quelle idée d'aller tenter des attaques de phishing sur un site de pêche...