
L'enquête de 4 mois trouve son origine dans la plainte d'une association écologique de pêche. Les jeunes ont en effet pénétré de nombreux sites pour soit détruire ceux-ci, en dérober les données, les modifier ou créer des copies de ceux-ci pour des attaques de phishing. Les jeunes risquent une amende allant jusqu'à 30.000€ et une peine de maximum 2 ans de prison.
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