
"L'accès à internet ne peut pas être considéré comme un droit fondamental. Nous savons bien l'importance qu'il revêt dans tous les secteurs de la vie actuellement, mais avoir chez soi un accès à internet, sachant qu'on peut avoir accès à internet partout ailleurs, ne peut pas pas être qualifié de droit fondamental. Ce serait aller trop loin", a déclaré Mme Albanel.
Le rapporteur UMP du texte Franck Riester a estimé que "les internautes qui verront leur abonnement suspendu pourront aller dans une mairie, une bibliothèque ou un café internet".
