
L'opération coordonnée par Europol et qui a impliqué les Etats-Unis, la Belgique, la Grèce, la Pologne et le Portugal a permis d'identifier plus de 2.000 sujets extrémistes abrités sur 52 plates-formes des réseaux sociaux. Le patron d'Europol a dit ne pas savoir pour l'instant si la lutte contre ce nouveau réseau social spécifique sera plus difficile à mener d'un point de vue technique.
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