
Selon le Wall Street Journal, le sous-traitant a ramené chez lui les dossiers confidentiels de la NSA et les a transférés sur son ordinateur personnel, sur lequel l'antivirus Kaspersky était installé. Les pirates auraient identifié ces documents grâce à l'antivirus. Toujours selon le journal, le sous-traitant n'avait pas l'intention de sciemment révéler ces informations, mais il a probablement enfreint la loi en apportant ces documents classés secret-défense chez lui. La société Kaspersky Lab a souligné qu'il n'y avait aucune preuve d'une éventuelle collusion avec les services de renseignement russes.
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