
La première vise la directive prise le 13 septembre 2017 par le ministère américain de la Sécurité intérieure, ordonnant aux services fédéraux de désinstaller dans les 90 jours tous les logiciels antivirus Kaspersky de leurs ordinateurs. La seconde vise la loi budgétaire adoptée dans la foulée par le Congrès américain, prohibant de façon encore plus large les produits Kaspersky de tous les organes gouvernementaux. L'entreprise russe dénonçait à l'opposé une décision «inconstitutionnelle», fondée sur «des allégations et des rumeurs», ayant «des répercussions négatives injustes» sur sa réputation.
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