
AT&T, qui a toujours fait valoir qu'il ne faisait pas le même métier que Time Warner, a promis de laisser sa nouvelle acquisition, rebaptisée Warner Media, fonctionner indépendamment jusqu'en 2019 au cas où il perdrait en appel. Dans sa décision du 12 juin, le juge fédéral Richard Leon avait souligné que le gouvernement n'avait pas apporté la moindre preuve que cette fusion puisse pénaliser les consommateurs. Il n'avait posé aucune condition pour l'autoriser. Le dossier avait pris un tour politique avec les critiques adressées par Donald Trump à l'encontre de CNN, l'un des fleurons du groupe Time Warner.
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