
Le site, qui interdisait déjà toute publication encourageant ou promouvant suicide ou automutilation, va désormais aussi interdire et retirer les « images violemment explicites d'automutilation, comme les coupures » infligées à soi-même. Quant aux photos moins dures, mais liées à l'automutilation - comme des cicatrices par exemple -, elles n'apparaîtront pas dans les résultats de recherche et ne seront pas recommandées par les algorithmes d'Instagram, qui dit travailler avec des experts en santé mentale. Ce type de contenu moins directement explicite ne sera « pas complètement supprimé, car nous ne voulons pas stigmatiser ou isoler des gens pouvant être dans la détresse et publiant des contenus liés à des actes d'automutilation pour appeler à l'aide », ajoute la filiale de Facebook.
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