
Lucy Koh avait estimé que le précédent accord n’était pas “vraiment juste, adéquat et raisonnable” car il ne mentionnait pas, entre autres, le montant global des indemnités ni la somme que les plaignants pouvaient espérer récupérer. Yahoo, désormais filiale du groupe Verizon Communications, est accusé d’avoir traîné à reconnaître avoir été victime de trois attaques entre 2013 et 2016 ayant affecté quelque trois milliards de comptes d’abonnés. Le nouvel accord concerne jusqu’à 194 millions de personnes aux Etats-Unis et en Israël et porte sur environ 896 millions de comptes.
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