
De longs mois plus tard, Google a décidé de supporter la cause des logiciels libres, dont il vit en bonne partie, en se joignant à l'OIN (Open Invention Network). Les membres de l'OIN (IBM, Nec, Novell, Philips, Red Hat, Sony et Google) ont pour principe de ne pas utiliser leurs brevets concernant Linux l'un contre l'autre et donne accès à des brevets achetés par le consortium en tant que groupement.
Le risque en attaquant Linux pour violation de brevet est donc maintenant de voir se retourner contre soi l'OIN avec sa collection de brevet impressionnante. Mais la surenchère est-elle la seule solution pour se débarrasser un jour des brevets logiciels?
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