
C'est une petite victoire pour Microsoft qui ne tardera pas d'en faire l'éloge dans des communiqués de presse, mais la ville de Paris compte tout de même utiliser quelques logiciels libres et passer quelques machines sous des environnements libres, mais il n'est plus question de remplacer Microsoft Office ni Internet Explorer, ils resteront bel et bien les logiciels prônés par l'administration parisienne.
Pas de chance donc pour le marché du desktop dans l'administration parisienne, mais ils annoncent tout de même que 50% de leurs serveurs applicatifs passeront sous Linux d'ici à la fin de l'année. C'est un maigre lot de consolation, mais espérons que le virus libre se propagera à travers de l'administration...
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