
"Malgré d'incontestables concordances et similitudes entre les deux sites internet, il n'y a pas de contrefaçon illicite", a tranché le tribunal. Les juges ont observé que, lors de sa naissance en novembre 2005, StudiZV aurait eu, de toute façon, peu d'intérêt à copier Facebook, qui ne possédait pas alors de version allemande et "ne s'adressait qu'aux étudiants et écoliers nord-américains, exclusivement en langue anglaise".
Facebook a la possibilité de faire appel, et dans la même affaire, la société américaine a par ailleurs déposé un autre recours contre StudiVZ devant un tribunal californien.
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