
Aujourd'hui, les juges ont conclu que Microsoft avait pris connaissance du brevet déposé par i4i avant son utilisation dans Word et avait violé la propriété intellectuelle en connaissance de cause. La firme de Redmond dispose de 6 semaines pour régler la somme de 290 millions de dollars, mais peut encore faire un nouvel appel, cette fois auprès de la cour Suprême des Etats-Unis.
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