
Un juge belge a rendu un arrêt, estimant que les faits ne justifient pas un licenciement pour motif grave, puisque la faute n'est pas de nature à rendre définitivement impossible la poursuite de la relation de travail. En outre, étant donné le nombre réduit de personnes ayant accès à ce groupe Facebook, le juge a estimé que la situation était moins grave que si ses commentaires avaient été lus par tout un chacun. Des circonstances atténuantes pourrait-on dire.


