
Selon les chercheurs, le potentiel de stockage de l’ADN est tel que l'on pourrait enregistrer toutes les données de l'année 2011 (1,8 zettaoctet soit 10²¹ octet ), dans environ 4 grammes de matière. Reste deux problèmes de taille à résoudre : L'ADN étant de la matière vivante, il faudra le figer pour éviter les pertes de données. En outre, comment pourra t-on récupérer ces données ? Les deux chercheurs parlent d'un simple séquençage pour reconstituer les fragments, mais la communauté scientifique est pour le moins sceptique.
