
Cisco pointe le manque de contrepartie exigée à Microsoft, rappelant que près de 1/3 des appels vocaux passés dans le monde transitent par Skype et plus de 280 millions d’utilisateurs passent plus de 100 minutes d'appels via le réseau. C'est pourquoi le groupe américain a demandé au Tribunal de l'Union Européenne de reconsidérer son feu vert. L'an dernier, Cisco avait demandé sans succès la mise en place de normes d'interopérabilité fondées sur les standards de l’industrie, le requérant n'ayant pas réussi à apporter la preuve d'une atteinte à la concurrence.
