
L'entreprise souligne que ses outils de confidentialité permettent aux utilisateurs de contrôler leurs données et de respecter leurs choix lorsqu'ils désactivent la personnalisation. Une action collective à ce sujet a été intentée dès 2020. Des utilisateurs ont affirmé que Google continuait de collecter leurs données via des applications comme Uber, Venmo et Instagram, qui utilisent ses services d'analyse. Google s'est défendu en affirmant que les informations collectées étaient « non personnelles », stockées dans des emplacements sécurisés et chiffrés, et n'étaient pas liées à des utilisateurs individuels. Le procès concerne environ 98 millions d'utilisateurs de Google et 174 millions d'appareils. L'entreprise a également été impliquée dans d'autres affaires de confidentialité, notamment une affaire dans laquelle Google a versé près de 1,4 milliard de dollars pour régler une violation de confidentialité au Texas.


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