
Le juge va donc devoir décider du caractère raisonnable de l'implémentation de Java dans Android. Google et Oracle devront lui remettre leurs arguments le 14 mai. Si William Alsup penche en faveur de Google, un pan entier du procès sera annulé, et avec, des millions (milliards ?) de dommages et intérêts. Dans le cas contraire, un second jury sera nommé, afin de déterminer l'étendue de l'infraction, et si l'utilisation du "fair use" n'est pas abusé.
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