
L'été dernier, l'association avait déjà pointé la politique de protection des données de Facebook auprès de la DPC en Irlande (où se trouve le siège européen de Facebook), comme contraire au droit européen. La procédure traine, car le dossier dépasse la DPC, qui selon Max Schrems, ne comprend qu'une vingtaine de fonctionnaires, dont aucun n'est un juriste spécialiste des questions de droit relatif à la vie privée.
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