
Le soucis se situe au niveau de l'accès sans fil Bluetooth et plus précisément au niveau du traitement de paquets de données de type L2CAP (logical link control & adaptation layer protocol). Cependant l'organisme ajoute que le risque n'est pas très élevé : il faudrait que le pirate se situe à un ou deux mètres de sa victime compte tenu de la faible portée des transmissions Bluetooth.
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