
Le quotidien économique américain précise que les faiblesses de la stratégie éditoriale et commerciale de YouTube concernent tout d'abord son public trop adolescent, une cible pas la plus intéressante pour les publicitaires. Pire, 9% des visiteurs (jeunes donc) totaliseraient ainsi 85% des vues. Autre écueil, le fait d'attirer les visiteurs sur la page d'accueil de YouTube avec des contenus plus qualitatifs et avant lesquels sont diffusées des publicités premium, alors que la plupart des visiteurs accèdent aux contenus YouTube via des lecteurs intégrés dans d'autres sites. Rappelons que Google cherche actuellement à lancer une version Premium de YouTube, avec abonnement mais sans publicité.
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