
D'après des informations ayant circulé sur les réseaux sociaux, BabyQ, développé par la société chinoise Turing Robot, a répondu par un simple "non", quand il lui était demandé s'il aimait le Parti communiste chinois. Reuters a pu converser vendredi avec le chatbot, dans sa version apparemment reconditionnée. Quand il lui était demandé s'il aimait le parti, il a répondu à plusieurs reprises "Et si nous changions de sujet" et a évité aussi d'autres thèmes sensibles.
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