
Le ministère de la Sécurité intérieure avait donné l'ordre mi-septembre à tous les fonctionnaires fédéraux de désinstaller dans les 90 jours tous les logiciels antivirus de Kaspersky Lab des ordinateurs du gouvernement et des agences fédérales. Le célèbre antivirus est par exemple soupçonné d'avoir été utilisé comme un cheval de Troie par des pirates russes pour mettre la main sur des documents classifiés qu'un employé d'une société sous-traitante de l'Agence américaine de surveillance NSA avait déposé sur son ordinateur personnel. Une accusation niée par Kaspersky, qui a mis en cause en l'occurrence un logiciel Microsoft infecté.
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