
L'inquiétude des autorités américaines porte notamment sur les risques associés aux relations de Broadcom avec des entités étrangères, écrit Aimen Mir, vice-secrétaire adjoint au Trésor pour la sécurité des investissements, dans cette lettre datée de lundi et rendue publique mardi par Qualcomm. Ce responsable ne précise pas l'identité des entités étrangères évoquées. Selon Reuters, si Broadcom mettait la fin sur Qualcomm, l'armée américaine craignait qu'au bout de 10 ans “il y ait fondamentalement un acteur dominant sur toutes ces technologies et que ce soit fondamentalement Huawei”.
Envoyer une nouvelle à un ami