
Dans un communiqué sévère, le ministère de l'électronique et des technologies de l'information indien a exprimé mardi soir aux dirigeants de WhatsApp sa "désapprobation profonde" des "messages irresponsables et explosifs". Dans sa lettre de réponse aux autorités indiennes, la filiale de Facebook s'est dit "horrifié" par ces lynchages, qualifiant ce phénomène de "défi qui requiert du gouvernement, de la société civile et des entreprises technologiques de travailler main dans la main". La messagerie a indiqué tester en Inde un dispositif pour signaler si un message a été écrit par l'envoyeur ou si celui-ci l'a simplement transféré.
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