
"Nous observons que, dans plusieurs régions de notre pays, lancer des poursuites judiciaires pour des "likes" et des "partages" sur les réseaux sociaux devient une pratique populaire", a déclaré le groupe dans un communiqué. Or "les actions des forces de l'ordre ne correspondent, souvent, clairement pas à la menace potentielle (...) Nous sommes convaincus que la loi et son application doivent être changées. Nous considérons nécessaire d'amnistier les personnes condamnées injustement", a ajouté le groupe, appelant à "décriminaliser ce genre d'affaires", traitées avec "une sévérité sans fondement".
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