
Le géant américain, qui s'est associé avec la société de cybersécurité FireEye dans ce dossier, a expliqué avoir bloqué 39 chaînes YouTube ayant cumulé près de 13 500 visionnements aux États-Unis de "vidéos pertinentes" et avoir désactivé six comptes sur son service de blogue Blogger et treize comptes sur son réseau social Google+. Le groupe a précisé avoir informé les parlementaires américains et les forces de l'ordre sur les découvertes de son enquête, y compris les contenus à caractère politique qui y étaient associés.
Envoyer une nouvelle à un ami