
Pour la plupart des personnes interrogées (56%), une fausse nouvelle se définit comme une «histoire dont les faits sont faux». Pour un peu plus d'un tiers d'entre elles (36%), ce sont des «mots utilisés par les hommes politiques et les médias pour discréditer les informations avec lesquelles ils ne sont pas d'accord», proportion qui monte à 51% aux États-Unis, «un chiffre qui s'explique par l'argumentaire habituellement déployé par leur Président pour marquer son désaccord avec une information», relève Ipsos. Cette étude «Ipsos global advisor» a été réalisée en ligne du 22 juin au 6 juillet auprès de 19 243 personnes, dont la France, l'Allemagne, l'Australie, le Brésil, le Canada, l'Espagne, les États-Unis, l'Italie, le Royaume-Uni et le Japon.
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