
Selon une proposition qui doit être adoptée par les Etats membres et par le Parlement européen, les plates-formes internet devront prendre aussi des mesures proactives, comme le développement de nouveaux outils visant à éliminer les abus et des ressources humaines pour surveiller les contenus. Les fournisseurs de services devront publier des rapports annuels pour prouver leurs efforts de gestion de ces abus. Ceux qui, de façon systématique, ne retireraient pas les contenus extrémistes, pourraient se voir imposer de lourdes amendes allant jusqu’à 4% de leur chiffre d’affaires annuel mondial. Le projet d’ordonnance prévoit que les fournisseurs de contenus pourront toutefois contester les ordres de retrait.
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